J'y ai tellement cru que j'ai longtemps souhaité que ma vie ressemble à un film hollywoodien. A un film de Capra ou de Billy Wilder...
Je me voyais comme James Stewart dans "La vie est belle" ou Gary Cooper dans "L'homme de la Rue". Fasciné par le spectacle des salles obscures, je me suis détourné du monde et j'ai oublié de vivre.