Pourtant on a eu des rêves, mais le virtuel sacrifie la réalité. C’est la MORT. Une chose me frappe chez notre jeunesse, nul ne part en voyage. C’est vrai il y a eu une génération où le voyage faisait partie d’une réelle initiation à la vie, le passage de l’adolescence à la vie d’homme.
Mais pour nous, rien.