Il y avait dans l'air un parfum léger de cerisiers en fleurs, rappel qu'indifféremment de l'horreur des hommes, il demeurerait toujours quelque chose de plus grand qu'eux.
Un monde avec sa palette infinie de lumières et d'ombres, mélange magistral de couleurs, d'absence et de présence.
Un univers où les étoiles ne brillaient que grâce à l'obscurité autour d'elles et où l'obscurité n'existait qu'en présence de lumière.