L'existence, très fréquente, d'une tonalité triste de l'humeur chez un alcoolique continuant à boire n'est pas une indication de chimiothérapie antidépressive d'emblée mais plutôt d'une prise en charge de l'alcoolisme. La souffrance dépressive, avec son cortège de culpabilité et de remise en question, constitue même parfois une incitation à se traiter.