L'ensemble des travaux plaident pour une association, au sens statistique, entre dépression et alexithymie chez les sujets sains, alcooliques ou déprimés. La composante émotionnelle semble expliquer à elle seule cette association. Les études structurales ont montré qu'alexithymie et dépression étaient indépendantes au moins pour la composante cognitive de l'alexithymie.