... 10.7% des filles et seulement 2.9% des garçons reconnaissaient des sentiments de honte et d'autodépréciation après ces crises. Ainsi, ce qui différencie les garçons des filles n'est pas tant la fréquence des crises de boulimie que le sentiments d'autodépréciation, ainsi que l'utilisation d'une stratégie de contrôle, qui y sont associés.