Je conclurai donc la relation de cette année de calamité par une strophe bien imparfaite mais sincère, que je plaçai à la fin de mes notes ordinaires l'année même où elles furent écrites :
Affreuse peste à Londres fut
En l'an soixante et cinq :
Cent mille personnes elle emporta,
Quant à moi, pourtant, toujours je suis là !