La fin d'une vie professionnelle, avant d'être un renouveau, c'est aussi le retour du refoulé. Quand les bouchons sautent, les paravents derrière lesquels on a pu se "planquer" pendant plus de cent soixante trimestres tombent. Il n'y a plus de masque social qui tienne. On se retrouve tout nu au milieu des cotillons. La fête est finie. Les lauriers sont coupés. (p. 24)