Le patron, homme ou femme cela n’y change rien, doit être capable de faire lui-même ce qu’il exige des autres, s’il veut être reconnu comme tel. Sans qu’il ait à en faire l’étalage au quotidien, on doit savoir qu’il sait le faire. Il lui faut naturellement une quantité d’autres compétences, des connaissances, de l’imagination, de l’organisation et ce petit truc qui fait toute la différence : l’aptitude à décider et à entraîner les autres derrière lui.