Ils avaient consacré leur vie à la neutralisation des criminels et à veiller à ce qu'ils soient jugés selon la loi. Aussi, le fait de prier pour que justice ne soit pas rendue et que des êtres humains meurent, sans qu'un juge ou un jury les ait entendus, pesait sur leur conscience. Mais ils étaient confrontés à une affaire où la vérité, si elle éclatait, ferait plus de mal qu'une bombe au milieu d'une foule.