En Arizona, le port d'arme est autorisé. À la ceinture, dissimulé, où bon vous semble. On ne vous demandait pas d'avoir eu un permis, suivi la moindre formation à l'usage d'une arme à feu ou un cerveau. ( p 79 )
Exemple évident, et qui doit vous être familier, celui des tueurs en série. Pour la plupart, ces gens ont subi de terribles violences au cours de leur enfance. Étant jeunes, ils extériorisent leur fureur en torturant des oiseaux ou de petits animaux transférant la douleur qu’ils ont éprouvée et la cruauté exercée contre eux sur des êtres vivants plus faibles qu’eux. En grandissant, ils vont s’en prendre à des victimes de plus en plus importantes, jusqu’à des êtres humains lorsqu’ils atteignent l’âge adulte.,
une paire de gants, des mains rapides et des pieds agiles, un esprit carré et un cœur bien accroché avait constitué son arsenal - généralement suffisant pour vaincre.
Finn pénétra dans le terminal, se dirigea vers les toilettes où il se débarrassa de sa veste, de ses écouteurs et de son badge. Après avoir passé un rapide coup de fil, il gagna d'un pas alerte le bureau de la sécurité de l'aéroport.
- J'ai déposé un sac avec une bombe à bord d'un A320 au National Airport ce matin, expliqua-t-il à l'homme de permanence. Et je viens de voyager dans la soute d'un 737 depuis Washington DC. J'aurais pu faire exploser l'avion n'importe quand.
Stupéfait, l'officier bondit par-dessus son bureau. Finn esquiva l'attaque d'un subtil pas de côté, et le type tomba à plat ventre sur le sol en criant au secours. Jaillissant en courant de l'arrière-salle, d'autres agents s'avancèrent alors vers Finn, l'arme au poing. Cependant, Finn avait sorti son accréditation avant même l'apparition des revolvers.
La porte du bureau s'ouvrit à la volée, laissant apparaître trois hommes, leurs badges fédéraux brandis comme le sceptre d'un roi.
- Sécurité intérieure, aboya l'un d'eux en direction des gardes. (Il pointa un doigt sur Harry Finn.) Cet homme travaille pour nous. Et il y a quelqu'un qui va se retrouver dans une sacrée merde !
On fait ce que personne d’autre ne veut faire. Notre devise, c’est « Sauver les vies ». Et, la plupart du temps, on y arrive. Nous essayons de prendre en compte toutes les contingences, mais nous n’avons guère le droit à l’erreur. Le succès ou l’échec de nos interventions peut tenir à des détails, par exemple à la présence d’une chaîne sur une porte, au fait de tourner à droite et non à gauche, de tirer ou de ne pas tirer. Et, de nos jours, si un malfrat reçoit une égratignure alors qu’il cherche à nous descendre, tout le monde se met à hurler ; on nous poursuit en justice, et les agents du FBI tombent comme des mouches.
Elle était aussi maligne que lui,et probablement aussi inflexible. Il s'en était rendu
compte dès le premier jour. Une jeune femme dans une cour de vieux hommes... Il ne lui lâchait jamais la bride.Chaque fois qu'il pensait qu'elle était sur la défensive,il la faisait plancher en se disant que la responsabilité de rédiger un avant-projet susceptible d'obtenir une majorité la situerait définitivement dans son camp. Il avait essayé de la placer sous son aile protectrice, de la piloter à travers les méandres de la procédure. Mais elle avait-révélé un caractère extrêmement obstiné.
Les femmes veulent une relation solide, du genre diamant. Ce qui intéresse les hommes, ce sont les conquêtes.
Les pays riches tels que les États-Unis, le Japon et la Chine se taillaient la part du lion dans ces inestimables matières premières, ne laissant que des miettes aux nations les plus pauvres. Mais le danger ne prenait pas uniquement source dans l’ancestral antagonisme entre les puissants et les faibles. L’essentiel du problème résidait dans l’ignorance et l’intolérance. Hemingway avait toujours comparé ces deux plaies à des guillemets, parce qu’elles fonctionnaient le plus souvent par paire et qu’on ne trouvait presque jamais l’une sans sa jumelle.
On ne force pas musulmanes à se marier. C’est un contrat entre l’homme et la femme, et aussi entre leurs familles. Quand il y a un divorce, Dieu nous en préserve, l’homme doit laisser beaucoup à la femme. C’est la loi qui donne ce droit à l’épouse, vous comprenez ? Et un homme il peut avoir plusieurs épouses, mais seulement s’il a les moyens de subvenir à leurs besoins de façon égale. À moins d’être très riche, un homme il a qu’une seule femme. Et l’islam recommande qu’on va tous à l’école, les hommes et les femmes pareil.
En Amérique, tout le monde pouvait réussir à condition de travailler dur. Il n'y avait pas de passe-droit, ni pour les pauvres, ni pour les riches, ni pour la classe moyenne.Les États-Unis étaient le pays des grandes occasions. Le tout était de savoir les saisir et, pour cela, il fallait y mettre du sien, mouiller sa chemise, faire des sacrifices.
Quel livre a écrit Alain-Fournier ?