De fait, la raison la plus probable pour laquelle si peu d'entre nous nous soucions de politique, c'est que les politiciens modernes nous attristent, nous blessent profondément de diverses façons qui demeurent difficiles à nommer, et encore plus à évoquer. C'est bien plus facile de lever les yeux au ciel et de s'en foutre. (p. 156)