La moitié des admissions en service psy concerne des collégiennes qui ont avalé deux flacons de Midol après une rupture amoureuse ou des déprimés asexués solitaires qui ne se consolent pas de la mort de leur animal de compagnie. Le trauma cathartique d'une admission dans un service officiellement psy, quelques hochements de tête compréhensifs et quelques signes prouvant qu'on ne se fout pas complètement de leur cas - ils se reprennent, on les relâche.