A ce moment-là, on pouvait en voir beaucoup plus. On trouvait des ossements humains et les carcasses effondrées et desséchées des éléphants qui ne s’étaient pas consumées entièrement sur les bûchers funéraires. C’était une scène sinistre, et j’ai appris que même les plus grands combats peuvent tomber dans l’oubli sans raison et laisser peu de traces.