Enfants, ils avaient imaginés la guerre comme un lutte glorieuse, des batailles entre armées et guerriers où les meilleurs combats étaient les plus égaux, pas seulement pour Rome et pour la gloire, mais une mise à l’épreuve de leur virilité d’où le vainqueur pouvait sortir grandi d’avoir tué un adversaire qui aurait pu l’emporter. En réalité la guerre se présentait rarement ainsi. Elle était inégale et sale.