C’est une erreur de penser que les crimes sont intrinsèquement complexes. Ils naissent des pulsions les plus simples : la peur, la luxure, la jalousie, la haine, l’avidité. C’était le travail de la police – son travail quand on le lui permettait – d’essayer d’éplucher les couches de tromperie, les strates de mensonges qui cachaient les faits les plus évidents.