on le condamna à être brûlé vif, attaché à un gril d'acier, lentement rôti au-dessus d'un brasier. (...) Le poète Prudence écrivit plus tard que Laurent avait ri durant sa propre mise à mort, plaisantant même avec ses bourreaux, leur disant : "Je suis à point de ce côté ; retournez-moi, et mangez."