Quand vous étiez le père d'un junkie, il y avait toujours cette ambivalence, parce que vous voyiez la même chose se répéter pendant des années et des années, et vous saviez au fond de vous que vous ne pouviez rien faire pour l'empècher. Mais au bout du compte, ce garçon recroquevillé dans ce lit demeurait votre fils, et c'était toujours ça qui l'emportait.