La mort est une sacré chorégraphe, et puisque le trépas est affaire de religions, de grands mystiques ont toujours pressenti qu'apprendre à mourir, c'était apprendre à danser [...] Mais alors, faut il mourir pour apprendre à danser?De nos jours encore, dans un monastère à Jérusalem, des religieuse ne tentent-elles pas par une maitrise radicale de leurs membres et de leur respiration de se rapprocher d'un corps sans vie d'entrer en contact avec l'éternité?