Citation de mcd30
Le Mahatma Ghandi disait : « Le problème du monde c'est que l'humanité a perdu la raison.»
Nous oublions souvent, individuellement ou collectivement, qui nous sommes et la raison pour laquelle nous sommes ici. C'est l'immersion de notre pouvoir, la perversion de notre identité et la subversion de notre mission sur terre.
Il n'est pas évident de percevoir cet égarement quand nousq y sommes plongés, parce que c'est un lieu de confusion cosmique générale. Nous avons tendance à penser, quand nous sommes écartés de l'amour, que notre colère est justifiée, qu'il est normal de critiquer les autres et qu'attaquer quelqu'un est une question de légitime défense, même si ce n'est pas le cas. Dans certaines circonstances, quelqu'un- parfois un pays entier - peut-être tellement aspiré dans le trou noir du manque d'amour, qu'il déclenche les actes les actes les plus extrêmes, parce que la chose, qui estplutôt une non-chose, n'est pas inerte. La conscience humaine ressemble à une veilleuse qui ne s'éteint jamais. Le problème c'est qu'elle peut être employée soit pour produire la vie quand elle réchauffe doucement, soit pour la détruire quand elle s'embrase. Il n'y a pas de crainte là ou ily a de l'amour. Par contre, si la peur s'empare de l'esprit,c'est unvéritable étau qui menace de broyer l'âme.
Nous oublions souvent, individuellement ou collectivement, qui nous sommes et la raison pour laquelle nous sommes ici. C'est l'immersion de notre pouvoir, la perversion de notre identité et la subversion de notre mission sur terre.
Il n'est pas évident de percevoir cet égarement quand nousq y sommes plongés, parce que c'est un lieu de confusion cosmique générale. Nous avons tendance à penser, quand nous sommes écartés de l'amour, que notre colère est justifiée, qu'il est normal de critiquer les autres et qu'attaquer quelqu'un est une question de légitime défense, même si ce n'est pas le cas. Dans certaines circonstances, quelqu'un- parfois un pays entier - peut-être tellement aspiré dans le trou noir du manque d'amour, qu'il déclenche les actes les actes les plus extrêmes, parce que la chose, qui estplutôt une non-chose, n'est pas inerte. La conscience humaine ressemble à une veilleuse qui ne s'éteint jamais. Le problème c'est qu'elle peut être employée soit pour produire la vie quand elle réchauffe doucement, soit pour la détruire quand elle s'embrase. Il n'y a pas de crainte là ou ily a de l'amour. Par contre, si la peur s'empare de l'esprit,c'est unvéritable étau qui menace de broyer l'âme.
