Au début de l’année 1900, il se lança dans la reconstitution des séances avec Helly Preiszwerk, qui allaient constituer le matériel de base de sa thèse de doctorat. Il fallait « mettre en fiction certains événements factuels – un impératif dans ce nouveau domaine [de la psychologie] … - [et adopter] une nouvelle forme d’écriture pour parler de personnes qui présentaient un intérêt sur le plan psychologique. » [James Hillman, « Some Early Background to Jung’s Ideas : Notes on CGJ’s Medium by Stephanie Zumstein-Preiszwerk”, Spring, 1976, p. 134-135] En bref, c’était une étude de cas, aux confins du réel et de la fiction.