Pour moi, c'était ça la description parfaite de la vie d'étudiant. L'instabilité. Tout fluctue, s'envole sans cesse.Tout nous échappe, et l'on court après les moindres fragments possible pour se rassurer. Mais à la fin, tout cela est envoyé en l'air. Et c'est là, entre les fêlures et les brisures, que se trouve le vrai réconfort.
Dans Labyrinthe ( p 282)
Le philosophe Stéphane Victoire disait qu' "avec le temps les choses finissent toujours par se mettre en place". Seulement qu'elles choses, qu'elle place et dans combien de temps ?
Premier exposé, Keyvan Sayar