Catherine se sentait plus proche du cynisme désabusé de Gabriel, de son anarchisme nihiliste, de son corps et sa psyché abîmés. Il plongeait dans l'alcool comme on se jetterait d'une falaise, mais, même dans ses moments de totale libation, il gardait pour lui un passé dont elle aurait aimé se repaître, comme ces vampires qui faisaient florès dans les oeuvres de Paul Féval.