René avançait en effet une théorie selon laquelle les truites elles aussi vivent la pêche comme un sport. Dangereux, certes, mais un sport tout de même. Un jeu où l'homme est l'adversaire, une manière de prouver qu'elles ont du cran alors qu'elles savent pertinemment que l'appât est pendu au bout d'un fil et dissimule un piège mortel. Sans risque, pas de plaisir.