Gros plan : le visage d’un gamin blond. Ses traits envahissent l’écran. C’est le fantôme de Klaus. C’est Detlef, qui filme son fils arraché, qui en fait un chérubin de l’espoir. Pour lui tout seul, car personne d’autre probablement ne fait le lien. Klaus ne lui appartient plus mais il va désormais hanter son père et son cinéma.