Il y a aussi le problème de la perspective. Chaque jour, et de plus en plus, j’en prends conscience : nous sommes éternellement prisonniers de notre point de vue unique. Nous essayons de considérer les autres avec honnêteté, comme des égaux, nous croyons sincèrement être assez objectifs pour y arriver, mais au bout du compte c’est une illusion. Nous ne pouvons voir qu’avec nos propres yeux. Même à l’âge adulte, l’objectivité est un leurre.