Novak resta au salon, debout, en proie ŕ une sensation désagréable. Le fait de s'ętre ainsi emporté, d'avoir męme eu recours au châtiment corporel, le remplissait d'une honte inexprimable. Lui, qui méprisait par-dessus tout le ton de la caserne, les maničres de caporal des pédagogues de l'ancienne école...jusqu'alors il n'avait jamais puni sa fille par la colčre, et męme s'il avait été sévčre avec elle, il avait gardé sa dignité. (p. 124)