« Souvent je me dis que de nos jours seuls les domestiques ont la belle vie. Ces dames se prirent ŕ soupirer, comme si elles avaient, toutes tant qu’elles étaient, raté leur carričre, comme si elles n’avaient, dans ce monde impitoyable, qu’un seul regret : elles étaient condamnées ŕ ne jamais devenir domestiques »