Chacun de notre côté, on vient de parcourir la moitié du chemin. C’est un début, un pas dans la bonne direction, j’imagine. On s’observe, on ne parle pas. Puis on se retrouve dans les bras l’un de l’autre. C’est à coups de grosses tapes dans le dos qu’on se dit tout ce que les mots ne pourraient pas exprimer.