Dans « Colette la vagabonde », Jean-Claude Charlet rapporte les propos du maire de Saint-Sauveur-en-Puisaye, à qui on suggérait d’apposer une plaque sur la maison natale de (Colette) : « Colette a dit que Saint-Sauveur était un petit pays pauvre, avare et resserré, répondit-il. Un tel pays ne peut rien faire pour un si grand écrivain. »