Lazare se laissa à nouveau captiver par le silence immobile des bois, des prés et même des hameaux qu'il devinait, en dessous de lui, découpant avec une surprenante netteté, dans cette lumière immanente et sans ombre, les formes régulières de leurs pans de murs et de leurs toits. Adossé à la grange, il tirait sur sa pipe, qui lui faisait oublier sa faim. Et il se sentait étonnamment bien.