Pour assurer son pouvoir, le Commandeur a appliqué la règle d'or de tous les politiciens aguerris : s'entourer de médiocres. Avant, ce n'étaient pas des flèches, mais leur dévouement à la cause commune, à la promesse sociale, compensait leur sectarisme. Ils étaient de bonne foi, même dans l'erreur. Les nouveaux ont les défauts des anciens sans avoir hérité d'aucune de leurs qualités. (p. 101)