L’alcool seul lui permettait d’oublier l’image d’effroi que lui renvoyaient les miroirs. Et comme il avait l’alcool mauvais, c’était la plupart du temps à l’intérieur des bars qu’il commettait ses crimes, comme dans l’auberge de Paomia, en octobre 1930, où il tua Ange-Antoine Siméoni, l’ancien maire de Guagno.