J’assure les mises en scène de l’Orphéon depuis une dizaine d’années et je crois bien connaître ce que veut le public. Les gens ne viennent pas ici pour réfléchir, ni pour pleurer. Ils demandent de la joie, de la rigolade, des couleurs. S’ils recherchent le sérieux, ils vont à la messe !