En conclusion, toutes les séries fondées sur l'interrogatoire, qu'il s'agissent de l'alimentation ou de la consommation d'alcool, des facteurs de risques ou de la présence d'un animal à la maison, ou encore de la sexualité, sont dans l'ensemble à manier avec beaucoup de prudence lorsqu'on leur applique des tests statistiques très sophistiqués, compté tenu de la mauvaise qualité de l''échantillonnage [mauvaise qualité du visiblement aux mensonges lorsque l'on interroge sur ces sujets sans pouvoir faire de vérification] Cela peut donner lieu qu'à des interprétations sur des évidences grossières. Il ne faut pas mettre de la subtilité dans l'interprétation de données qui sont aussi peu fiables.