Didier Raoult

Le risque physique du bioterrorisme est négligeable. Mais le risque social associé au bioterrorisme, comme au terrorisme d'ailleurs, est particulièrement important, en raison de la fragilité de la population. Les mesures prises à la moindre évocation de ce risque sont disproportionner [note de Pégase-Shiatsu : Didier Raoult à raison, toutes les bactéries sont plus ou moins incontrôlables pour ne pas s'attaquer aux personnes qui les utilisent! ce n'est pas de la science fiction... La plupart des biologistes ne sont même que peut formé à la bactériologie sauf grande spécialisation, à moins que l'on ne face que de la prévention dans l'industrie Agroalimentaire, ce qui est loin de nécessité une formation permettant de les contrôlés... les toxines ne sont contrôlables que dans le cas d'un assassinat ciblé!!! et demande une formation très spéciale que l'on ne trouve même pas dans nos universités, c'est donc un risque mineur, contrairement aux explosif plus facile à se procurer ou à fabriquer, et à poser en se suicidant ou en s'en protégeant, je pense pour ma part comme lui, même si je ne suis pas une spécialiste... Faire courir les militaires vers un autre objectif que les explosifs, mettre la population dans la peur, et empêcher les chercheurs de travailler sur les maladies sont des mesures qui peuvent vite se révéler catastrophiques!]