Arrêts maladie, arrêts maladie, on brûle, on brûle. Oh là là il ne fallait pas toucher à ça sous la gauche au pouvoir ! tout de suite étaient brandies les conditions de travail et l'origine sacrée de la mesure. Bon ben là aussi on est au bout d'un cycle, après la longévité de la démagogie liée à l'idéologie tombe comme un fruit mûr l'empêchement de poser les vraies questions.
Oui on brûle parce qu'on finira peut-être par parler de la valeur travail dans notre société qui à mes yeux est une dimension cardinale pour tous et pour la jeunesse en particulier. On va finir par parler comme Georges Marchais qui se revendiquait des travailleurs, comme si ne ceux qui travaillaient dur et exploités avaient voix au chapitre. Ben aujourd'hui on a tué le travail, il n'y a que les entrepreneurs indépendants qui trouvent grâce aux yeux de Macron, tout le reste ce sont des fainéants. S'attacher à la valeur travail par les arrêts-maladie ne me gêne absolument pas, bien au contraire, on verra bien ce qui est au coeur de ça, une absence d'imagination totale et de constat réservée à la valeur travail. Mais j'ai comme un fort doute au delà des mots sur la réelle intention du gouvernement actuel de mettre les pieds à l'étrier en prétendant faire cesser ces abus, car c'est comme la pelote de laine ou la boîte de Pandore. On en reparlera ! Un emploi pour tous !
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