J’ai remarqué que la douleur de l’âme morte est semblable en un point à la douleur physique : quand on arrive à un certain seuil de douleur, la seule réponse du corps est de se recroqueviller, tête sur les genoux, et de faire le balancier. Comme les autistes. Ça ne diminue pas la douleur, mais c’est un geste archaïque. p.194