L’atmosphère était lourde, trop lourde. Même pour une femme qui se savait et se disait experte en situations épineuses. Sanna se contenta à peine de hausser les épaules, et attendit que son employeuse l’autorise enfin à quitter les lieux. Jamais le malaise ne s’était fait aussi sensible, entre elles deux. Déçue, la nouvelle recrue se promit de frapper à nouveau. Plus tard, quand elle saurait comment s’y prendre.