Mon dos et mon cou, endoloris par les coups, sont de plus en plus douloureux. Cette nuit, je prends conscience du danger que je cours. Si je reste à le regarder, à le subir sans rien faire, Moubarak va finir par me tuer. Sa tendresse après un déchainement de violence s'apparente à un scénario que je connais bien et qui ne me trompe plus.