La mise à l’épreuve du bien et du mal est faite pour que l’or puisse bouillir et que l’écume monte à la surface.
Si son action n’avait pas été inspirée par Dieu, il aurait été un chien qui déchire sa proie, non un roi.
Il n’était entaché ni de luxure, ni de cupidité, ni de passion ; ce qu’il fit était bien, mais un bien ayant l’apparence du mal.