Le pire, c’est que j’avais envie de m’abandonner. De fondre dans ses bras. Dans n’importe quels bras. Mais j’ai ravalé mes larmes. À force de s’épancher à tous vents, on finit par se perdre complètement. J’en avais assez des réconforts éphémères. De ces bonheurs furtifs derrière lesquels gronde l’orage.