Il adorait sa fille, il l’aimait comme un père ne peut qu’aimer son enfant : avec force et protection, du fond de son cœur, de toute son âme.
Il n’était point de pilule miracle contre les affres de l’adolescence. Il attendait patiemment que cette période difficile s’efface pour qu’il la retrouve, enfin, un peu plus apaisée. Il fallait du temps pour qu’elle grandisse simplement. Il le savait.