Nous arrivâmes au gazomètre, contents, excités, en sueur.
Il avait déjà ôté son maillot et se jeta dans l'herbe avant de s'attaquer aux lacets de ses baskets.
Je me dépêchais de me mettre aussi en tenue et de faire de mes habits un petit tas dans le sable avec l'orteil.
Une merveille ce garçon. Doux, puissant. D'une vigueur exceptionnelle. Inférieure cependant à la mienne. C'est lui qui flancha le premier.
"Oh ! s'écria-t-il en voyant- preuve dressée à l'appui- que j'étais prêt à recommencer. Trois fois de suite, ça alors !