Ici, le cerf-volant était plus qu'un jeu. C'était le reflet d'une civilisation, le bonheur de se laisser porter, guider, dominer par les forces de la nature. C'était un art, une religion, une philosophie. Les lambeaux des centaines de cerfs-volants qui pendaient aux fils électriques du slum étaient les oriflammes du peuple de la Cité de la joie.