Par deux fois en deux ans, depuis que j’avais été viré de la police, j’avais accepté, à contrecœur, des boulots appropriés pour un ex-flic. Un ex-flic sacqué pour abandon de poste, pas pour malhonnêteté. Je les avais acceptés surtout parce que ma famille avait besoin d’argent et que je n’ai pas de travail ces temps-ci.