Ils en étaient arrivés au point où ils s’injecteraient de la morphine, avaleraient des barbituriques, des comprimés de Nembutal, n’importe quoi pour ne plus se sentir aussi à vif. L’élixir parégorique soulagerait ceux qui savaient en faire évaporer l’alcool et filtrer le camphre. Car alors on peut l’utiliser en injections intraveineuses. Un bon nombre des toxicos à l’étage avaient déjà acheté des antitussifs contenant de la codéine, tandis que quelques chanceux avaient de la laudanidine et d’autres de la très précieuse dionine.