Cela se passait dans l’hiver qui suivit Dunkerque.[…] Jacobson se trouvait désormais à la tête d’un équipage recruté dans les ruisseaux et les prisons du Canada. La présence de cette racaille à bord de l’Oleron constituait un affront intolérable à la réputation de celui-ci et à l’amour propre de son capitaine. (p.10)
Pourquoi fait-il ça, je ne pourrais te le dire. Officiellement, il n’est même pas en guerre. Peut-être a-t-il l’esprit un peu fêlé. Peut-être avons nous tous l’esprit fêlé. Alors peut-être les retrouvera -t-il. Ce genre d’obstination paye quelquefois. (p.213)