Comme les autres villageois, Hrotrud ne savait ni lire ni écrire. En revanche, elle savait que cette bible était un trésor, et qu’elle valait davantage en sous d’or que tout le revenu annuel du village. Le chanoine l’avait apportée de son Angleterre natale, où les livres n’étaient point aussi rares qu’en pays franc.