— Tu sais pourquoi j’ai pleuré, tout à l’heure ? Parce que tu es mon amie et que je souffre avec toi, mais aussi... par jalousie, je l’avoue. Un sentiment lamentable, pathétique, mais que je ne peux pas nier. Comme j’aurais aimé ressentir ce que tu as connu ces derniers jours... Être désirée et aimée de cette manière. Même le temps d’un week-end. Pouvoir se dire : « Je ne suis plus seule au monde »...